Posté par sdu le 26 novembre 2010
RFI
Par Christophe Boisbouvier
Pour la première fois dans l’histoire de la Côte d’Ivoire, un débat télévisé a opposé le 25 novembre au soir les deux candidats au second tour de la présidentielle, qui aura lieu dimanche 28 novembre. Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara se sont notamment engagés à respecter les résultats. Compte rendu de l’un des envoyés spéciaux de RFI.
« J’ai bien aimé le ton de l’émission », a lancé le modérateur, Pascal Brou Aka, visiblement soulagé à la fin de ce débat de deux heures trente entre Laurent Gbagbo et Alassane Ouattara sur le plateau de la Radio-télévision ivoirienne (RTI). « Et les Ivoiriens aussi. Vous savez qu’ils sont inquiets, et que beaucoup ont fait des provisions pour dimanche… ».
Ce qui a frappé les millions d’Ivoiriens qui ont suivi hier soir ce face-à- face Gbagbo-Ouattara, c’est la cordialité des échanges entre les deux finalistes, debout derrière leur pupitre. Bien sûr, il y a eu des moments de tension. Notamment au début de l’émission, quand le président sortant a accusé son adversaire d’être responsable des coups de force de 1999 et 2002, et donc de l’instabilité des ces onze dernières années – citations à l’appui. « Ah bon », a répliqué Alassane Ouattara. « Moi aussi, je peux citer plusieurs phrases de l’époque prononcées par Laurent Gbagbo. Mais ça ne prouve rien ».
Même à cet instant, l’échange est resté courtois. Avant de porter son attaque, Laurent Gbagbo a eu cette précaution oratoire : « C’est là qu’il y a la plus grande divergence entre mon frère Alassane et moi ». Un peu plus tard, le Président sortant a encore lancé : « Non, sur la dette extérieure, je ne vais pas polémiquer avec le Premier ministre. On est assez civilisé comme ça ».
Respect du verdict des urnes
Pas d’insultes, pas de mots blessants… Visiblement, les deux candidats ont entendu les
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Posté par sdu le 26 novembre 2010
Débat télévisé : Gbagbo et Ouattara font retomber la pression
Gbagbo et Ouattara se sont livrés un duel à fleurets mouchetés sur la RTI. © AFP
Lors du débat télévisé sur la RTI, jeudi soir, les deux candidats à l’élection présidentielle Laurent Gbagbo et Alassane Dramane Ouattara (ADO) n’ont pas « cherché palabre ». Bien loin du choc brutal auquel on s’attendait, la rencontre a été pleine de courtoisie et de respect mutuel.
À la fin de leur « duel » télévisé, les deux finalistes de l’élection présidentielle ivoirienne se donnent une chaleureuse accolade à l’africaine. Cette image illustre bien l’atmosphère cordiale qui a prévalu lors du débat Gbagbo-Ouattara, qui se déroulait dans une atmosphère rompant avec la vive tension ponctuée d’affrontements entre partisans des deux hommes ces derniers jours, lesquels ont fait un premier mort dans l’ouest ivoirien hier.
Les téléspectateurs ivoiriens, qui s’attendaient à de rageuses polémiques et à des accusations réciproques, ont plutôt vu un débat à fleurets mouchetés entre deux monstres sacrés de la scène politique de leur pays. Chacun est venu avec sa stratégie. Le candidat du Front populaire ivoirien (FPI), Laurent Gbagbo, s’est évertué à incarner à fond la fonction présidentielle face à un candidat du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, opposition), Alassane Dramane Ouattara (ADO), qu’il a appelé systématiquement « monsieur le Premier ministre ».
Gbagbo a annoncé sur le plateau des décrets qu’il prépare, notamment sur l’instauration d’un couvre-feu dès dimanche dans la nuit, laissant son adversaire s’étonner de n’avoir pas été informé par avance. L’ancien Premier ministre d’Houphouët a tenté de réagir en rappelant au chef de l’État qu’ils se tutoyaient tous les deux et s’appelaient « Alassane » et « Laurent » loin des plateaux de télévision.
Propositions originales
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Posté par sdu le 26 novembre 2010
Dépêche AFP du 25 novembre 2010 : Le chef de l`Etat ivoirien Laurent Gbagbo et son concurrent au second tour de la présidentielle de dimanche, l`ex-Premier ministre Alassane Ouattara, se sont engagés jeudi soir à respecter le résultat du scrutin, à la fin d`un face-à-face télévisé inédit et apaisé.
Laurent Gbagbo ===>
“Je suis heureux que le Premier ministre (Ouattara) et moi, nous ayons accepté chacun d`accepter le résultat” de cette élection historique, a affirmé M. Gbagbo après plus de deux heures de débat radio-télévisé.
Le ton des échanges a été particulièrement courtois et parfois amical, offrant un contraste saisissant avec une campagne marquée par des accusations virulentes de part et d`autre, des affrontements entre leurs partisans et même la mort d`un militant pro-Gbagbo jeudi dans l`ouest.
“J`espère gagner parce que je veux offrir quelque chose à mon pays (mais) si je perds, ce n`est pas un problème“, a déclaré M. Ouattara.
Alassane Ouattara ===>
Le chef de l`Etat sortant avait annoncé au début de l`émission l`instauration d`un couvre-feu dès dimanche à 22H00 (locales et GMT), au soir de l`élection censée mettre fin à une décennie de crise politico-militaire.Son concurrent avait critiqué une décision qui “dramatise les choses” alors que les incidents actuels sont “localisés”.
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Posté par sdu le 8 juillet 2010
Paris normadie Jeudi 08 juillet 2010
Entretien decalé. Rencontre avec Déesse, la plus jeune bachelière du cru 2010, prête à entrer en fac.
Sa « performance » a valu à Déesse (au centre) d’être reçue, hier, à la Créa (Communauté de Rouen, Elbeuf, Austreberthe), par le président Laurent Fabius qui l’a félicité.
Elève au lycée Saint-Saëns à Rouen, Déesse Dji’Ala a obtenu son bac S, alors qu’elle n’a que 14 ans. Au lendemain des résultats, la jeune fille pense à son inscription en faculté de médecine. A moins que l’an prochain, elle ne devienne élève en classe préparatoire au lycée Corneille. Précoce, elle a accepté de répondre à quelques questions qui rendent bien peu hommage à sa maturité. Tu as le bac quand d’autres, à ton âge passent le brevet. Les fées se sont penchées sur ton berceau ? Déesse Dji’Ala :« En fait, il n’y a pas de secret. Je suis juste entrée à la maternelle alors que j’avais moins de 2 ans. Je suis entrée au CP à 4 ans puis j’ai sauté le CE1 et le CM1. Et voilà. »
Tu as obtenu un 16/20 en anglais et seulement 6/20 en sciences de la vie et de la terre (SVT). N’aurais-tu pas mieux fait de passer un bac L ?
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Posté par sdu le 8 juillet 2010
Paris Normandie N°20255 du Jeudi 08 juillet 2010.
Déesse, c’est le phénomène de cette session de baccalauréat 2010. Une jeune fille de 14 ans, originaire de Mont-Saint-Aignan qui aime le tennis, le cheval et… les mathématiques. Mardi, elle a obtenu son bac S avec une moyenne de 11,47/20. Plus jeune bachelière de France, la performance a valu les honneurs de
la Crea (Communauté Rouen, Elbeuf, Austreberthe) et de son président Laurent Fabius qui lui a remis quelques petits cadeaux, bienvenus en ce début de vacances, à l’image d’un abonnement d’un an au cinéma. Accompagnée de ses parents, ses soeurs et cousines, la jeune fille assez émue a échangé quelques mots avec le président de
la Crea
Sa « performance » lui a valu à Déesse (au centre) d’être reçue, hier, à la Crea, par le président Laurent Fabius qui l’a félicitée.
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Posté par sdu le 8 juillet 2010
Journal du Cameroun. Par Idriss Linge – 07/07/2010
Déesse Dji’Ala, 14 ans fréquentait le lycée Camille Saint-Saëns à Rouen en France et était élève de terminale scientifique
14 ans et déjà le Bac en poche!
Peut-être à entendre les conversations de son papa, Déesse a intégré les informations scientifiques, comme une donnée naturelle. Elle était il y a un mois la plus jeune candidate au Baccalauréat 2010 en France. Elle n’a pas eu la mention mais c’est déjà un gros exploit. Aujourd’hui, Déesse Dji’Ala est la plus jeune bachelière du baccalauréat 2010 en France. Le sujet de philosophie était intitulé «Dépend-il de nous d’être heureux?» Un sujet qu’avait choisi la jeune camerounaise. J’ai dit que cela dépendait de notre volonté mais que cela n’était pas toujours possible en raison du hasard et de la nature. J’ai dit aussi qu’on avait besoin des autres pour être heureux, avait-elle expliqué. Ce succès lui donne raison. Elle a obtenu son diplôme avec une moyenne de 11,5/20. Pas mal pour une jeune fille qui devrait être en 4ème à son âge. La jeune fille a débuté sa scolarité au Cameroun à Yaoundé. Elle a fréquenté au lycée Leclerc. En 2005, son père qui est chercheur-enseignant en biophysique et chimie l’a fait venir en France en même temps que toute sa famille.
© Boris Maslard
Déesse dans les bras de son père
Délicat d’obtenir le Bac avec l’âge d’une fille de 4ème
Après son diplôme, la jeune fille aimerait suivre des études de médecine ou s’inscrire en IEP (institut d’études politiques). On réalise tout de suite la difficulté qu’il y a à choisir son chemin quand on n’a que 14 ans. Les trois quarts des élèves précoces s’inscrivent en classe préparatoire et font ensuite des grandes écoles. Les autres vont à l’université, où ils ne réussissent pas toujours, mais pas forcément moins bien qu’un bachelier d’un âge normal, précise un expert en orientation. Le papa de la jeune camerounaise qui est lui-même enseignant saura guider sa fille. La réussite Déesse dans l’environnement français rappelle qu’elle a débuté au Cameroun et que peut-être comme elle de nombreux jeunes camerounais dans les mêmes conditions seraient devenus de très jeunes bacheliers. Déesse n’est pas une première au Cameroun. Avec l’amélioration du système éducatif camerounais, les jeunes obtiennent le Bac précocement. Seul problème, le gouvernement ne suit pas toujours ces petits génies qui sortent de nos écoles.
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Posté par sdu le 6 juillet 2010
Déesse Dji’Ala, 14 ans, est la plus jeune bachelière de France. Cette adolescente, originaire du Cameroun, était scolarisée cette année au lycée Camille Saint-Saëns de Rouen en Terminale S.
Déesse a décroché son bac scientifique ce mardi matin
Déesse Dji’Ala, 14 ans, est la plus jeune bachelière de France. Cette adolescente, originaire du Cameroun, était scolarisée cette année au lycée Camille Saint-Saëns de Rouen en Terminale S. Début juin, lorsque nous l’avions rencontré chez elle à Mont-Saint-Aignan, son papa, enseignant-chercheur en biophysique et chimie avait déclaré avec fierté : « Elle aura son bac ! ». C’est désormais chose faite depuis ce mardi matin. L’adolescente, qui joue trois heures par semaine au tennis, admire les sœurs Williams et adore chanter à tue-tête dans l’appartement familial les chansons de Beyoncé ou Justin Bieber, rêve d’être médecin.
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Posté par sdu le 26 juin 2010
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Bruxelles – 24 Juin 2010; Cameroun info net 26 Juin 2010
© International Crisis Group | Correspondance
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L’ONG International Crisis Group spécialisée dans dans la prévention et résolution de conflits armés, récidive après un premier rapport sur le pays au mois de mai dernier.
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SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS
Après 28 ans sous la présidence de Paul Biya, le Cameroun est dans une situation de grande instabilité potentielle à l’approche de l’élection présidentielle prévue en 2011. Le flou constitutionnel et légal qui prévaut, les rivalités entre les barons du régime, les tentatives du gouvernement pour contrôler le processus électoral, la rupture du contrat politique entre gouvernants et gouvernés, l’importante paupérisation et les nombreuses insatisfactions de la population, le niveau élevé de la corruption ainsi que les frustrations d’une grande partie de l’armée font craindre la possibilité d’une crise majeure. Pour l’éviter, Biya et son gouvernement doivent restaurer l’indépendance de l’organe chargé d’organiser et de superviser les élections, rendre institutionnelle et impartiale la lutte contre la corruption et garantir la neutralité des forces de sécurité. Ils doivent aussi, de manière urgente, mettre en place les institutions prévues par la Constitution de 1996, afin d’éviter une vacance du pouvoir et l’éventualité de violences lors d’une transition, y compris si celle-ci était causée par un événement imprévu comme le décès en fonction du président, aujourd’hui âgé de 77 ans. Les partenaires les plus influents du Cameroun, en particulier la France et les Etats-Unis, doivent apporter un soutien actif à ces mesures afin d’empêcher des troubles.
Le parti au pouvoir est de plus en plus divisé. Bien qu’il domine toujours la vie politique, il est conscient de son manque de légitimité et il est affaibli par des rivalités internes pour le contrôle des ressources et des positions en prévision de « l’après Biya ». Après avoir fait supprimer la limitation constitutionnelle du nombre de mandats présidentiels, Biya, qui est à la fois craint et contesté au sein de son parti, maintient délibérément l’incertitude sur son éventuelle candidature. De nombreux membres de son parti nourrissent de leurs côtés des ambitions présidentielles.
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Posté par sdu le 26 juin 2010
Ils flashent et maintenant, ils pensent ! Détestés mais serviables, coûteux ou juteux mais préventifs, les radars autonomes se dotent bientôt d’un système d’analyse de vitesse moyenne. Fini le coup de frein.
Big Radar is watching You. Et de très loin. La dernière campagne pour la sécurité routière (axée sur l’alcool, la vitesse et les jeunes au volant) qui pousse le choc visuel et psychologique dans ses retranchements donne le ton : l’État est bien décidé à faire chuter les chiffres d’accidents de la route et ralentir les véhicules. Par tous les moyens.
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Posté par sdu le 22 juin 2010
Avec un petit point au compteur en deux rencontres, l’équipe de France devait réussir un exploit pour se qualifier pour les huitièmes de finales d’une compétition dont elle est pourtant vice tenante du titre. L’équipe de Domenech devait également relever l’honneur après la série de scandales qui ont émaillé la semaine française. Non seulement les français ont perdu face à la modeste équipe d’Afrique du Sud, mais ils n’ont pas réussi à montrer une réelle volonté. Réduits à 10 sur une expulsion mal jugée, les français n’ont marqué, comme la Corée du Nord, qu’un seul but. Inacceptable à un tel niveau de compétition. Les bleus quittent le tournoi sans avoir fait vibré leurs supporters ! Raymond Domenech et plusieurs joueurs, dont Thierry Henry, devraient quitter la compétition internationale.Une révolution est souhaitée par de nombreux commentateurs et spécialistes du football français.
Voici le film du match :
5e L’équipe de France paraît décidée, sur une passe de Gourcuff dans la profondeur Gignac tire mais son tir est arrêté par le gardien.
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